2016 / + 120 personnes
Mémoire de l’Avenir présente l’exposition Polistopia du vendredi 8 juillet au samedi 27 août 2016 dans sa galerie située au 45/47 rue Ramponeau à Belleville Paris 20ème.
Une intallation participative du protocole JEMONDE est mise en place au sein de la galerie pendant toute la durée de l'exposition.
L’exposition Polistopia présente 13 regards d’artistes plasticiens, vidéastes, photographes, architectes, performeurs français et étrangers (anglais, américains, canadiens, espganols, israéliens), qui interrogent, à travers des points de vues, réels ou imaginaires, utopiques ou dystopiques, notre rapport complexe à l’espace urbain. Artistes : Lamozé, Lise Grosperrin, Livia dudouit, Deborah Sfez, Anne Wolff, Maud Louvrier Clerc, Artemis Alcalay, Madhu Basu , Samantha hunt, Julien Paulus, Sophie Bocher, G Louise Cooper, Isabelle Terrisse.
L’exposition se donne pour objectif de présenter des travaux et réflexions d’artistes autour de l’espace urbain, que cela soit à travers des points de vues imaginaires ou réels, utopiques ou dystopiques. La ville est une entité vivante, en perpétuel remodelage pour faire face à ses mutations sociales, économiques, identitaires, géographiques toujours plus rapides et complexes. Dans ce qu’elle comporte de bon ou de mauvais, la ville n’a de cesse de nourrir les penseurs et l’imaginaire des artistes. De cet imaginaire naissent des propositions, des nouveaux regards qui interrogent, critiquent, donnent à penser de nouvelles façons de vivre ensemble.
La pluralité des visions transfigure le réel et crée de nouveaux mondes utopiques ou dystopiques. Alors que l’utopie propose l’interprétation d’un monde idéal et sans défaut, où une communauté d’individu vit heureuse et en harmonie, la dystopie ou contre-utopie, au contraire, donne la vision cauchemardesque d’une société organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Entre utopies et dystopies, la ville nait et évolue au fil de la pensée de l’homme. Elle est un écosystème fragile où chaque modification dans son paysage est susceptible de remettre en cause l’équilibre et la paix sociale. La densification du paysage urbain au fil des années a posé de nombreuses questions et suscité de grandes inquiétudes notamment par la défragmentation du tissu social qu’elle a impliqué ou par la virtualisation massive des rapports humains. C’est aussi le rapport à la nature, les enjeux écologiques, et la place de chacun qui fait l’objet de réflexions constantes. Dans l’art l’utopie comme la dystopie s’est exprimée à travers de multiples formes d’expression comme la littérature, le cinéma, l’architecture, la bande dessinée. Ce type de récit est connu depuis l’antiquité avec Platon, et perdure comme moyen de critiquer ou de proposer de nouveaux modes de vie. Les artistes, en s’emparant de ce langage soulignent ce qu’il manque à une société pour être parfaite, ou soulignent des effets qui, s’ils s’accentuent, risquent de provoquer le chaos.
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2016 / + 120 personnes
Mémoire de l’Avenir présente l’exposition Polistopia du vendredi 8 juillet au samedi 27 août 2016 dans sa galerie située au 45/47 rue Ramponeau à Belleville Paris 20ème.
Une intallation participative du protocole JEMONDE est mise en place au sein de la galerie pendant toute la durée de l'exposition.
L’exposition Polistopia présente 13 regards d’artistes plasticiens, vidéastes, photographes, architectes, performeurs français et étrangers (anglais, américains, canadiens, espganols, israéliens), qui interrogent, à travers des points de vues, réels ou imaginaires, utopiques ou dystopiques, notre rapport complexe à l’espace urbain. Artistes : Lamozé, Lise Grosperrin, Livia dudouit, Deborah Sfez, Anne Wolff, Maud Louvrier Clerc, Artemis Alcalay, Madhu Basu , Samantha hunt, Julien Paulus, Sophie Bocher, G Louise Cooper, Isabelle Terrisse.
L’exposition se donne pour objectif de présenter des travaux et réflexions d’artistes autour de l’espace urbain, que cela soit à travers des points de vues imaginaires ou réels, utopiques ou dystopiques. La ville est une entité vivante, en perpétuel remodelage pour faire face à ses mutations sociales, économiques, identitaires, géographiques toujours plus rapides et complexes. Dans ce qu’elle comporte de bon ou de mauvais, la ville n’a de cesse de nourrir les penseurs et l’imaginaire des artistes. De cet imaginaire naissent des propositions, des nouveaux regards qui interrogent, critiquent, donnent à penser de nouvelles façons de vivre ensemble.
La pluralité des visions transfigure le réel et crée de nouveaux mondes utopiques ou dystopiques. Alors que l’utopie propose l’interprétation d’un monde idéal et sans défaut, où une communauté d’individu vit heureuse et en harmonie, la dystopie ou contre-utopie, au contraire, donne la vision cauchemardesque d’une société organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur. Entre utopies et dystopies, la ville nait et évolue au fil de la pensée de l’homme. Elle est un écosystème fragile où chaque modification dans son paysage est susceptible de remettre en cause l’équilibre et la paix sociale. La densification du paysage urbain au fil des années a posé de nombreuses questions et suscité de grandes inquiétudes notamment par la défragmentation du tissu social qu’elle a impliqué ou par la virtualisation massive des rapports humains. C’est aussi le rapport à la nature, les enjeux écologiques, et la place de chacun qui fait l’objet de réflexions constantes. Dans l’art l’utopie comme la dystopie s’est exprimée à travers de multiples formes d’expression comme la littérature, le cinéma, l’architecture, la bande dessinée. Ce type de récit est connu depuis l’antiquité avec Platon, et perdure comme moyen de critiquer ou de proposer de nouveaux modes de vie. Les artistes, en s’emparant de ce langage soulignent ce qu’il manque à une société pour être parfaite, ou soulignent des effets qui, s’ils s’accentuent, risquent de provoquer le chaos.
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